Réalisation de biographies
-
Ecriture de la biographie de Monsieur Georges Toledano :
"Le combat ou la mort" (224 pages) parue aux Editions Auteurs du Monde
"Après avoir échappé à une mort certaine lors d’un naufrage en octobre 1973 en Haïti, j’ai toujours privilégié la vie et l’esprit d’entreprise, en mesurant avec pragmatisme tous les risques encourus. Je l’ai fait avec curiosité et passion, malgré les nombreuses difficultés ou les coups bas. Je me suis battu comme un lion, afin de jouir en premier lieu d’une vie confortable, mais aussi pour me sortir de situations complexes ou prouver mon innocence dans des affaires où j’ai été incriminé à tort."
-
Ecriture de la biographie de la famille Monnet :
"Histoires de famille" (236 pages) - Auto-Edition
"Fréquemment, l’histoire d’une famille se résume à de courts souvenirs ou à des anecdotes partagées le temps d’une conversation, d’une rencontre ou d’un repas. Et puis un jour, on regrette de ne pas avoir pris le temps de questionner ses grands-parents, ses parents, une tante ou un oncle, afin de découvrir les événements qui ont construit l’histoire familiale.
Dans mon enfance, j’avais entendu des choses étonnantes sur la vie de mon arrière-grand-mère maternelle Clémentine (née en 1892), ou celle de son fils René. Ils ont traversé des guerres, connu la solitude, subi les privations, supporté les camps de concentration, enduré les tragédies familiales, mais ils ont avancé vaillamment dans la vie malgré tout.
A l’époque, tout cela ne m’intéressait que de loin. Mais aujourd’hui, raconter ces histoires de vie avant qu'elles ne se perdent à jamais me semble important, pour rendre hommage aux personnes qui les ont vécues, mais aussi pour mieux les connaitre.
Leurs descendants, Christiane et Lionel m’ont confié leurs souvenirs. Cet ouvrage est écrit en leurs noms, et je vais leur laisser la parole..."
-
Ecriture des mémoires de Jean Raphaël en 2 volumes :
"La vie est un passage de relais" - Auto-Edition
Tome 1 : "Pourquoi caches-tu ton étoiles jaune ?" (308 pages)
Je m’appelle Jean Raphaël, je suis le fils d’un émigré grec juif Séfarade. Né en France en 1929, j’ai été élevé par ma tante Ricoula, car mes parents se sont séparés quand j’avais quatre ans. J’ai eu une enfance assez solitaire, où la tendresse ne faisait pas vraiment partie du quotidien. Puis la guerre est arrivée, et avec elle l’holocauste, détruisant les trois quart de ma famille en 1942. Je suis parti seul à douze ans rejoindre ma mère en zone libre. A l’adolescence, l’internat d’Oloron dans les Pyrénées-Atlantiques a été ma maison. Après la guerre, j’ai su saisir des opportunités qui m’ont mené en Angleterre, puis en Afrique pendant plusieurs années. J’ai ensuite mené une belle carrière dans le textile en France, notamment en créant ma propre entreprise. Sans diplôme, avec pour seules armes ma volonté et mon sens du commerce, j’ai le sentiment d’avoir réussi ma carrière professionnelle.
Mais la plus belle réussite de ma vie, c’est ma famille. Marié avec une femme catholique, nous avons eu trois beaux enfants, malgré des moments parfois compliqués. Avec Jacky, le bonheur est entré dans ma vie. Grâce à elle et avec elle, j’ai créé une belle famille, certes avec ses hauts et ses bas, mais une vraie famille unie. Étant fille et fils uniques tous les deux, c’était notre vœux le plus cher. J’ai passé soixante-huit merveilleuses années avec cette belle et admirable épouse. Elle était la femme de ma vie. Alors c’est vrai, aujourd’hui les enfants et petits-enfants sont dispersés, mais qu’importe si le plaisir est toujours là quand nous sommes réunis !
Cette biographie, je l’ai rédigée pendant plusieurs années, puis j’ai arrêté d’écrire. Manque d’envie ou paresse ? Probablement les deux. Je me suis alors dit, écrire pour qui ? Jacky et nos enfants connaissent mon histoire dans son ensemble. Mais étant un père un peu introverti, il était peut-être nécessaire de partager mon ressenti… Alors voici le récit de ma vie.
Tome 2 : "La famille est un nid oiseaux" (216 pages)
Il était une fois deux familles composées de femmes qui faisaient une cure à Aix-les-Bains en Savoie. Elles ne se connaissaient pas. Elles voyageaient dans le même compartiment du train Aix-les-Bains - Paris à la fin de leur séjour. Le voyage était long. Causette entre dames, échange d’adresses et visites réciproques à Paris se sont enchaînées. Sous prétexte d’obtenir des informations sur l’Afrique, un ami de la famille C. a fait écrire sous le nom de la jeune fille au jeune homme de la famille R. Au cours des quatre ou cinq lettres envoyées, des banalités sans intérêt ont été échangées. Puis un jour, le jeune homme de la famille R a reçu une photo de la jeune demoiselle, et l’image a fait « tilt », le coup de foudre a été immédiat pour lui. Loin d’éprouver un sentiment réciproque, à l’annonce du retour du jeune homme en congés en France, la jeune fille a souhaité que l’avion ne s’écrase. Ainsi, elle n’aurait pas à faire sa connaissance ! Mais l'appareil est arrivé à bon port. Le jeune homme a donc entrepris de la séduire en trouvant les bonnes paroles et en chantant du Sinatra, ce qui n’était vraiment pas son atout majeur !
Et, contre toute attente, les deux jeunes gens des familles C et R ont fait un mariage d’amour. Ils ont donné naissance à trois beaux enfants, et vécurent soixante-huit ans ensemble…